Des anciens instruments

Chose commune à travers le temps et l’histoire, les pays et les cultures, les instruments de musique. Et je vous propose de découvrir ou de redécouvrir quelques instruments de musique peu connue, mais qui reste incroyable.

Instrument de percussion traditionnellement utilisé dans la musique irlandaise, on trouve cet instrument entre autres en Écosse et dans les pays nordiques. Le mot gaélique Bodhar signifie "sourd" en raison du son qu’il produit.

C’est un instrument qui se compose d’un cadre de bois rigidifié par une charpente qui peut être en forme de X ou en T, sur lequel est tendue traditionnellement une membrane en peau de chèvre mais elle peu être faite de daim, de lévrier ou de nos jours synthétique. La membrane peut selon les types d’instruments être accordable via des clefs situées dans le cadre.

On frappe donc cette peau grâce à un bâton nommé stick ou tipper, tenu par le milieu. Le tipper peu être conçu de deux bouts ronds, mais aussi de sorte de lamelle permettant un son différent. Il est possible en jouant, de modifier le son de l’instrument en jouant avec l’autre main sur l'autre face de la peau située à l'arrière de l'instrument. Cet instrument date d’avant le XVIIe siècle, mais est resté pratiquement inconnu jusqu’en 1950, lorsque le regain d’intérêt pour la musique irlandaise lui a fait connaître le travail de certains artistes. 

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Instrument à cordes, frottées par une roue en bois au lieu d’un archet. La roue est actionnée par une manivelle de la main droite du joueur, pendant que l’autre main joue la mélodie sur un clavier.
Cet instrument d’abord simple et rustique de forme à peu près carrée, traverse les siècles entre instruments de cour et instrument de rue, dans l’oublie ou sur un pied d’étale. De nos jours, cet instrument est en perpétuelle évolution, elle devient électrique et la veille électroacoustiques (sans cordes) apparaissent.
Cet instrument est utilisé assez régulièrement dans la musique néofolk et produit une exellente mélodie.

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Instrument chinois fabriqué en bambou inventé en 1971 par un maître, d’une petite taille de 4 pouces, composé de deux trous de jeu de part et d’autre du trou d’insufflation. Cet instrument émet des sons aigus, pouvant imiter le cri des oiseaux. 

Instrument de musique à cordes pincées qui descend de la guitare anglaise. Elle s’apparente aux mandolines et à l’instrument principal des joueurs de fado.

Elle possède douze cordes métalliques distribuées deux par deux. Les cordes sont posées sur un chevalet mobile qui transmet les vibrations à la table légèrement convexe de l’instrument.

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 Instrument à vent, similaire à la cornemuse, mais qui ne possède qu’un seul bourdon dont il existe plusieurs variantes en Europe et en Amérique latine.

Le terme Gaïta peu s’appliquer à d’autres instruments à vent, mais dans la plupart des langues de la péninsule ibérique, il désigne de façon générale la cornemuse.
Elle se présente avec un tuyau mélodique donc la percée est conique à anche double, percée de 8 trous de jeu, dont un postérieur, plus un grand bourdon d’épaule à anche simple et cylindrique.

Cithare (instruments à cordes pincées, fréquemment utilisées dans le folklore), à bourdon typiquement norvégien. C’est un instrument ancien remontant au XVIe siècle et qui est maintenant rarement utilisé. Les anciennes versions sont rectangulaires, mais les modernes tendent à s’arrondir.

L’instrument original a été découvert au 21e siècle à Numedal en Norvège, dans une ferme médiévale. Elle ressemble à une petite harpe à sept cordes. Elle s’utilise de principalement, en pinçant les cordes individuellement. Le chanteur multi-instrumentiste Einar Selvik du groupe Wardruna est un des pionniers de cet instrument.

Connue aussi sous le nom de Tagelharpa dont la signification est harpe à poils de queue est une lyre à archet à quatre cordes du nord de l’Europe. Répandu jadis en Scandinavie, mais joué principalement de nos jours en Estonie, le nom vient probablement du tagel ou crin de cheval dont étaient faites les cordes.