La prison Winter

Encore un lieu intéressant, donc les faits paranormaux restent sans fondement, mais pas illogique. Il s’agit d’une prison nommée la prison Winter dans la ville canadienne de Sherbrooke au Québec.

Construite par Charles Côté en 1865 et en service jusqu'en 1990, selon les plans de l’architecte – géomètre Frederick Preston Rubidge. Un style Palladien a été choisi (style architectural originaire de Vénétie), comportant un édifice principal, un mur d’enceinte pénitentiaire en pierres, d’une cour intérieure, d’espaces verts et de la maison du geôlier. Un édifice en brique a été ajouté en 1940. Il s’agit du troisième plus vielle édifice public de Sherbrooke et de la plus ancienne construction en pierres. Elles comportent 51 cellules simples ou doubles, dont 3 réservés aux femmes sur une aile indépendante et 6 au sous-sol. En total, l’ensemble du site est divisé en 12 secteurs donc un réservé à l’isolement, une zone pour le parloir, une chapelle, une infirmerie, une cuisine (je me demande bien pourquoi faire, mais nous y reviendrons.) une buanderie, la section pour les femmes (peu nombreuses à cette époque), une section pour les travailleurs, des bureaux administratifs et pour finir un poste de contrôle.

Cette prison est construite sur la Jail Street maintenant appelée rue Winter, où se situé le palais de justice, des résidences réservées aux juges et des maisons pour les avocats.

Actuellement, un projet est en train d’être validé par les instances supérieures, afin de permettre l’ouverture de la totalité du site et permettre la création d’un musé. Ce projet est né depuis longtemps, mais suite à la pandémie, le budget de rénovation a augmenté de façon considérable et est devenue un frein à ce projet, qui comprend la rénovation de la prison afin de recevoir des visiteurs, ainsi que la partie musée pour la présentation de l’histoire du lieu.

Du côté paranormal, bien que des enquêtes en format vidéo soit disponible sur Internet, les éléments relevés sont franchement très informels, des équipements électroniques qui détectent des fantômes, sauf que cela reste de l’électronique et donc on ne peut être sûr de la qualité des résultats. Il est, en effet, facile d’attendre des fluctuations d’un détecteur électromagnétique et de dire que cela vient d’un fantôme. Beaucoup de média sur Internet, confirme la non-présence de phénomènes paranormaux sur les lieux. 

Il serait en revanche logique que des phénomènes paranormaux se fasse ressentir, en effet, il faut savoir que son histoire macabre commence peu après son ouverture puisqu’elle se voit attitrer la réputation de la prison la plus insalubre du Québec.Il serait en revanche logique que des phénomènes paranormaux se fasse ressentir, en effet, il faut savoir que son histoire macabre commence peu après son ouverture puisqu’elle se voit attitrer la réputation de la prison la plus insalubre du Québec. Il dénonce notamment une hygiène déplorable du fait de l’absence de douches, et globalement de sanitaires. Après plusieurs plaintes des associations spécialement inquiètes des conditions des prisonniers arrivent à faire transférer les prisonniers dans des cellules donc des travaux de rénovation ont été réalisés. En revanche les conditions à suivre n’était guère mieux, la nourriture était immangeable, voire moisie (c’est pour cela que je me demande à quoi servait la cuisine.) l’absence d’activité pour les prisonniers et pour finir des sanitaires donc l’hygiène reste à revoir. Durant donc toutes la durée de mise en service de cette prison, les conditions ne furent pas à la hauteur de ce qu’on doit attendre et ceux même s’il s’agissait de prisonnier.

Il faut aussi savoir qu’entre 1880 et 1931. Il eut six détenus pendus, sachant que la peine de mort fut abolie en 1976 au Canada. La pendaison était réservée aux prisonniers accusés de viol, de meurtres ou de trahison. Il faut noter que le bourreau en charge de plusieurs pendaisons fut régulièrement critiqué par les médecins qui devaient se charger de confirmer la mort du condamné. En effet, il fallait parfois attendre 20 minutes avant que le condamner ne succombe. Les médecins reprochaient donc à ce dernier un travail bâclé donc résulté un mort avec une longue agonie.

Pour finir, des suicides auraient eu lieu également, en 1988 deux suicides et quatre tentatives, puis 9 tentatives de nouveau d’avril 1989 à juin 1990. Parmi les suicides, on retrouve des prisonniers qui se seraient pendus et d’autre qui se serait ouvert les veines.

Voilà pourquoi il serait logique de constater des présences paranormales dans ce lieu. Je vais tenter de prendre contact avec le lieu directement afin de pouvoir en discuter avec des employées. Je vous laisse bien sûr comme toujours vous faire votre propre avis. 

Suite à l'envoie de mail, j'attend à ce jour toujours des réponses, malgrès mes recherches dans des archives, journaux et autres supports si j'apprend autre choses je ferais une mise à jour de l'article.